Le défi: Valoriser la laine produite par le troupeau et créer un supplément de revenus. Donner à la laine sa juste place dans une entreprise agricole.

La rencontre avec la tisserande Catherine Raccoursier a enfin donné le coup de pouce nécessaire au projet: Ensemble nous prduisons une petite dizaine tapis par an depuis 2016.

Mais l’acquisiton d’une grange et le soutien financier des soeurs de l’Abbaye de la Trappe de Bonne Esperance nous dirige vers une véritable valorisation digne de ce nom. La production de tapis s’accelère et devient régulière, ainsi que notre présence sur différents marchés grâce à Gillian Durber qui a rejoint l’équipe. Le futur atélier et la base de transformation de laine à la grange nous donnera la visibilité nécessaire, et ouvre la voie à des collaborations différentes et variées.

Ainsi nous proposons aussi les produits d’autres artisanes dans le but d’une entraide et d’un tissage de réseau. Pour l’instant nous collaborons avec Soïzic Landais, Soilaine, et nous sommes en pourparlers avec Ilétegia deux structures qui rejoignenet nos valeurs et aspirations.

L’association Pastoralisme en Double nous offre une base pour regrouper les activités actuelles et futures. Elle nous permet de rallier un plus grand nombre de personnes à la cause et de rayonner au delà de nos horizons réspectifs

Crée pour défendre le pastoralisme dans la Double, elle est devenu rapidement l’outil de promotion de la laine, parent pauvre de l’activité pastorale. Grace à cette structure nous avons pu être subventionné pour des travaux et l’achat de matériel de transformation par l’Abbaye de la Trappe de Bonne Esperance

C’est ainsi que nous pouvons dire aujourd’hui que nous maîtrisons toutes les étapes de la transformation de la tonte du troupeau au produit fini sauf pour le lavage qui se fait à la Filature de Niaux en Ariège, petite structure coopérative.

Nous proposons de la laine à tous les stades de transformation: brute, lavée, cardée, filée ou en produit fini. Pour professionnels, amatuers ou alors amoureux de la matière tout simplement. D’aller « on line » avec notre production est un nouveau défi éxcitant que nous relevons avec impatience, alors bienvenu